Les rencontres du Prix Gavroche entre les auteurs et les collégiens se poursuivent.
Les élèves des collèges Jules Verne, Henry Dunant, Les Bons Raisins et Les Martinets ont rencontré Michael Espinosa le 22 Mars afin de parler de son roman fantastique Au royaume de Volaria, Le choix de Dana.
Durant cette rencontre, Michael Espinosa a parlé du plaisir qu'il a d'écrire depuis son plus jeune âge. Il a notamment gardé en mémoire une de ses premières rédactions et le journal qu'il avait créé avec des amis lorsqu'il était au lycée.
Il a également évoqué son envie d'imaginer des personnages féminins à forte personnalité dans ses romans.
Un des collégiens a profité de cette rencontre pour faire un portrait de l'auteur.
Pour découvrir la réaction de Michael Espinosa suite à sa rencontre avec les collégiens, nous vous invitions à vous rendre sur son blog.
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerMerci à tous pour votre accueil, aux élèves pour des questions très pertinentes et je vous souhaite de bonnes lectures.
ENJOY !
Michaël Espinosa
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai adoré cette rencontre parce qu'on a pu avoir des réponses à nos questions. J'ai bien aimé l'humour de l'auteur et les histoires sur sa vie.
Le livre dont il nous a parlé, Cimetière, m'avait l'air bien mais un peu dramatique. Je remercie Mickaël Espinosa pour toutes ces informations qui m'ont fait très plaisir. Morgane (Collège les Martinets)
J'ai adoré cette rencontre car on a pu parlé des projets de Mickaël Espinosa et de ses activités. Nous avons aussi pu avoir des dédicaces de livres et des réponses à nos questions. L'auteur a eu la gentillesse de nous expliquer plein de choses comme la relation avec l'éditeur. Cette rencontre, je la conseille énormément même si nous n'avons pas eu le temps de poser toutes nos questions. Iness, 61 (collège les Martinets)
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé rencontrer l'auteur du Choix de Dana, il est gentil et répond avec sincérité, ça m'a beaucoup appris! Il aime bien les enfants, ça se voit! Je suis heureuse d'y être allée, ça en valait la peine!
RépondreSupprimerAdèle, 61