Le jeudi 14 mars, les collégiens de Marcel Pagnol, La Malmaison et Henri Dunant participant au Prix Gavroche sont venus à la médiathèque pour rencontrer Jean- Claude Mourlevat, l'auteur du roman policier Jefferson.
Durant les deux rencontres de la journée, l'auteur a évoqué son parcours en tant qu'écrivain ainsi que ses sources d'inspiration.
Après avoir été professeur d'allemand puis travaillé dans le théâtre, Jean-Claude Mourlevat a commencé à écrire il y a une vingtaine d'années sur conseil de certaines personnes de son entourage. Aujourd'hui, il regrette de ne pas s'être mis plus tôt à l'écriture car c'est quelque chose qui a bouleversé sa vie et qu'il aime éperdument faire. Ce n'est pas avant son neuvième roman qu'il a commencé à se considérer véritablement comme un écrivain.
Plus jeune, il aimait beaucoup les romans d'aventure et plus particulièrement Robinson Crusoé. Roald Dahl est également un écrivain qu'il affectionne et qu'il a beaucoup lu à ses enfants. Il s'est notamment inspiré de cet auteur pour écrire La troisième vengeance de Robert Poutifard.
Chacun de ses livres lui a demandé un an de travail. Pour ses premiers romans, il écrivait sur des carnets. Pour montrer un exemple, il a apporté les notes qu'il avait prises lors de l'écriture de La rivière à l'envers. Depuis quelques années, il est passé à l'ordinateur, ce qu'il trouve beaucoup plus pratique.
Jefferson est son 16ème roman mais son premier dans un style policier. Après avoir beaucoup travaillé sur le roman fantastique et d'aventure, il voulait explorer un nouveau thème.
Ce livre est aussi un roman animalier, genre qu'il avait déjà travaillé dans La ballade de Cornebique. Il aime faire de ses personnages des animaux car il lui arrive souvent d'associer des animaux aux personnes qu'il rencontre.
L'inspiration pour ce livre lui vient des histoires que son frère et lui se racontaient tard le soir quand ils étaient enfants. Ils leur arrivaient souvent d'inventer des histoires à double voix et une nuit, il avait commencé la sienne par "Il était une fois un petit hérisson qui allait chez le coiffeur...".
Il a débuté l'écriture de ce livre sans savoir qui allait être l'assassin. Ce n'est qu'au milieu de l'histoire qu'il a voulu relier l'enquête au sujet de la cause animale. Ce thème est important pour lui car cela fait maintenant 5 ans qu'il est végétarien tout comme ses enfants. C'est d'ailleurs sa fille qui lui a inspiré le personnage de Roxanne.
Pour les illustrations du roman, la maison d'édition a fait appel à deux illustrateurs : Léa d'Andrea qui a réalisé la couverture et Antoine Ronzon qui a dessiné une planche par chapitre.
Pour plus de photos et d'informations sur la rencontre, nous vous invitons à lire les comptes-rendus des élèves du collège Marcel Pagnol et de La Malmaison.
Plus jeune, il aimait beaucoup les romans d'aventure et plus particulièrement Robinson Crusoé. Roald Dahl est également un écrivain qu'il affectionne et qu'il a beaucoup lu à ses enfants. Il s'est notamment inspiré de cet auteur pour écrire La troisième vengeance de Robert Poutifard.
Chacun de ses livres lui a demandé un an de travail. Pour ses premiers romans, il écrivait sur des carnets. Pour montrer un exemple, il a apporté les notes qu'il avait prises lors de l'écriture de La rivière à l'envers. Depuis quelques années, il est passé à l'ordinateur, ce qu'il trouve beaucoup plus pratique.
Jefferson est son 16ème roman mais son premier dans un style policier. Après avoir beaucoup travaillé sur le roman fantastique et d'aventure, il voulait explorer un nouveau thème.
Ce livre est aussi un roman animalier, genre qu'il avait déjà travaillé dans La ballade de Cornebique. Il aime faire de ses personnages des animaux car il lui arrive souvent d'associer des animaux aux personnes qu'il rencontre.
L'inspiration pour ce livre lui vient des histoires que son frère et lui se racontaient tard le soir quand ils étaient enfants. Ils leur arrivaient souvent d'inventer des histoires à double voix et une nuit, il avait commencé la sienne par "Il était une fois un petit hérisson qui allait chez le coiffeur...".
Il a débuté l'écriture de ce livre sans savoir qui allait être l'assassin. Ce n'est qu'au milieu de l'histoire qu'il a voulu relier l'enquête au sujet de la cause animale. Ce thème est important pour lui car cela fait maintenant 5 ans qu'il est végétarien tout comme ses enfants. C'est d'ailleurs sa fille qui lui a inspiré le personnage de Roxanne.
Pour les illustrations du roman, la maison d'édition a fait appel à deux illustrateurs : Léa d'Andrea qui a réalisé la couverture et Antoine Ronzon qui a dessiné une planche par chapitre.
Pour plus de photos et d'informations sur la rencontre, nous vous invitons à lire les comptes-rendus des élèves du collège Marcel Pagnol et de La Malmaison.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire